Origami Pour le plaisir d'écrire... |
| | Vos débuts | |
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+8coeur de livre Fraizi Tàri Eledwhen Sindavingiel Adonis Ava Livandil d'Eleissen Siah 12 participants | |
Auteur | Message |
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Siah Auteurs en devenir
Nombre de messages : 37 Age : 33 Localisation : Devant ma feuille blanche Date d'inscription : 11/09/2008
| Sujet: Vos débuts Mar 16 Sep - 20:52 | |
| Hoyoyo!
Avez-vous dans vos fonds de tiroirs, de disques-durs, de chaussette, de cerveau, des écrits qui mériteraient la création d'un quatrième niveau, en-dessous encore de Débutant? Faites-nous partager en extraits votre progression.
Petite règle : essayez de dater vos extraits et qu'ils ne soient pas trop longs, pas plus d'une page.
Mettez les entre les balises "spoiler" (disponibles dans "autres" dans la barre du haut ^^). | |
| | | Livandil d'Eleissen Bêta-readeur
Nombre de messages : 52 Age : 33 Localisation : Over the stars, in my dreams Date d'inscription : 11/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mar 16 Sep - 21:13 | |
| Oula, oui! Par principe, je ne jette jamais rien même si parfois, ça vaudrait mieux... J'ai retrouvé quelques textes transférés de mon vieil ordi. Quelques extraits pour que vous contempliez le désastre dans toute sa splendeur (mais à l'époque, j'étais fière ): Extrait 1: écrit en cinquième, début du deuxième chapitre d'un "roman" jamais achevé^^ - Spoiler:
Le lendemain, Maxime, Gabriel et Henri firent leurs adieux au duc qui les regarda partir. Tout au long de cette journée, ils chevauchèrent gaiement. Puis le soir venu, ils campèrent le long de la route, en instaurant un tour de garde. La nuit se passa sans incidents. Ils partirent vers les huit heures du matin. Vers midi, le chevalier demanda : « N’avez-vous rien entendu ? J’ai cru ouïr un frôlement dans ces buissons. -Ce doit être des brigands : ils pullulent dans le coin, répondit Gabriel. -Je pense qu’ils ne vont pas tarder à attaquer, ils doivent avoir tendu un piège plus loin, renchérit Henri. -Très bien, nous allons les recevoir comme il se doit, reprit Maxime. Attention, les voici ! » En effet, une douzaine de malandrins se tenaient sur la longueur de la route. Ils avaient tous l’épée à la main. « Arrêtez-vous ! hurla celui qui semblait être le chef. Nous voulons seulement les jumeaux ! Mais vous, vous pourrez repartir en paix, en laissant vos armes et votre argent -Dis plutôt : en l’égorgeant et en le dépouillant, répondit Henri, narquois. Brusquement, les buissons sur le bord de la route s’agitèrent et un cavalier surgit, monté sur un splendide cheval, couleur d’ébène. « Je suis avec vous ! cria-t-il à nos trois amis stupéfaits. » Ils décidèrent de foncer à travers le tas et chargèrent l’épée à la main, sans laisser aux bandits le temps répliquer. Mais au moment où ils arrivaient sur les brigands, d’autres surgirent devant leurs montures. Ils les saisirent par la bride. Maxime et les deux frères se trouvaient dans une situation critique mais ils ferraillaient ferme, sans perdre de terrain. L’étranger se débattait face à trois bandits qu’il tua en un rien de temps. Son épée flamboyait dans la lumière et ses longs cheveux noirs flottaient sur ses épaules. Il se retourna pour voir où en étaient les autres et courut vers eux pour les aider. Bientôt, les rangs de l’ennemi s’éclaircirent. Il ne resta plus que le chef avec une demi-douzaine d’autres bandits. Le roi commença à céder du terrain sur son adversaire. Alors, Gabriel, se mettant devant lui, engagea le combat, laissant à Maxime le temps nécessaire pour reprendre sa respiration. Les derniers bandits ferraillaient avec l’énergie du désespoir mais il n’avait aucune chance face au nouveau venu et s’enfuirent dans la forêt en hurlant des malédictions. Il restait encore le chef, face à Henri. Le jeune homme faiblissait mais ne reculait pas. Soudain le bandit se fendit à fond dans sa direction, le prenant par surprise, au moment où leur nouvel ami, Maxime et Gabriel se précipitaient vers lui. Henri s’affaissa avec un petit gémissement. Gabriel se jeta sur le bandit et le tua net. Il se précipita aussitôt sur son frère, suivi du roi. Une large tâche rouge s’étalait sur son pourpoint blanc le teintant de pourpre. « Il est vivant ! ! s’exclama-t-il Doucement, il ouvrit le pourpoint d’Henri qui était blanc comme un linge et inconscient. Le coup d’épée était dangereux mais le pire avait été évité. Donné deux centimètres plus haut, Henri ne se serait pas relevé. Cependant, le sang coulait et il fallait d’abord penser à arrêter l’hémorragie. Gabriel prit une chemise de rechange et banda la blessure du mieux qu’il put. Il était pourtant gravement blessé et intransportable. Ils le comprirent aussitôt.
Extrait 2: Le dernier texte qui a précédé Eridan, écrit en quatrième... - Spoiler:
Un jour, peu de temps après la dernière visite de Leni, une grave dispute éclata entre Clarence et Robin, parce que ce dernier, lors d’un duel, avait, d’un mouvement maladroit, frappé Clarence à la tête. Le garçon, déjà angoissé pour son avenir et celui de ses amis dont il avait la responsabilité et énervé à force d’attendre sans rien faire, laissa échapper sa tension nerveuse. De plus le temps lourd et nuageux qui planait depuis quelques jours n’arrangea pas les choses. Il se mit à insulter le pauvre Robin qui voulait s’excuser. Celui-ci, énervé aussi, commença à répondre. Elianor et Gabriel qui discutaient tranquillement en regardant les deux adolescents intervinrent immédiatement mais sans parvenir à les calmer. Ils sentaient que les deux garçons allaient en venir aux mains. En effet, Clarence donna un coup de poing à Robin qui chancela et riposta d’un coup de pied au ventre. Clarence était plus grand et plus fort que Robin mais celui-ci avait la souplesse et la légèreté pour lui. Clarence repoussa une attaque de Robin et se jeta sur lui. Les deux garçons roulèrent au sol dans un tourbillon de poings et de pieds sans prêter attention à Gabriel, et Sirius qui tentaient de les séparer. Jy’tchi miaulait et crachait et Elianor dut le rejeter plus loin sinon le siamois aurait profité avec enthousiasme de la bagarre. Clarence voulut écraser Robin sous son poids. Le jeune garçon essaya de se dégager sans y parvenir. Il lança alors son poing droit dans la figure de Clarence qui recula sous l’effet de la douleur. Robin en profita pour se remettre debout. Il laissa Clarence se relever également. Le grand garçon, dont l’œil droit commençait à virer au noir, donna un coup de pied dans le genou de Robin qui, déséquilibré, tomba par terre, en poussant un cri de douleur. Clarence en profita pour se jeter sur lui et le bourrer de coups de poing. Robin tenta de le repousser et de se relever. Il se dressa à moitié, la jambe gauche raide à cause de sa douleur au genou. Clarence le repoussa d’une bourrade. Le jeune garçon tomba en arrière et sa tête heurta violemment le sol. Il ne bougea plus. Elianor cria : « Non » et se jeta sur son frère pour le repousser. Clarence se releva aussitôt pour crier sur sa sœur mais Gabriel le ceintura et le projeta au sol où il resta étendu soufflant comme une forge. Le garçon blond demanda à Elianor : « Comment va Robin ? -Il a perdu connaissance. Aide moi à le porter sur son lit. -J’arrive. » Délaissant Clarence, Gabriel rejoignit son amie auprès de Robin qui commençait déjà à reprendre conscience. Il avait un œil au beurre noir, une lèvre fendue et le sang coulait sur son menton. Sa respiration était saccadée, sifflante mais il refusa que ses amis le portent. Soutenu par Gabriel, il se remit péniblement debout et se dirigea, en boitant, vers la chaumière où il se laissa tomber sur son lit. Il était très pâle. Elianor attrapa sa boîte de pharmacie où elle prit diverses petites et fines plantes qu’elle jeta dans une casserole d’eau. Elle dit : « Ces plantes vont te guérir très rapidement. -Et Clarence, murmura Robin d’une voix faible. -Il n’a que ce qu’il mérite, jeta Elianor avec mépris. Il n’aurait pas dû s’attaquer à toi ; nous sommes tous nerveux. Il a profité de ce qu’il était plus grand et plus fort pour... -Dis à Gabriel ce qu’il faut qu’il fasse et laisse-nous, souffla Robin. Va rejoindre Clarence. Il a besoin de sa sœur. » Il avait insisté sur le dernier mot. « Oui, mais toi tu es couvert de bleus et d’égratignures. Ta lèvre a besoin d’être soignée. -Je sais mais Clarence est dans le même état que moi, murmura Robin plus pâle encore. -Très bien, lâcha Elianor qui comprit qu’il était inutile d’insister sous peine d’aggraver l’état du garçon. Mais je reviens tout de suite. » Elle prit sa casserole d’herbes et sortit rejoindre Clarence, en demandant à Gabriel de l’installer confortablement. Son frère était assis là où Gabriel l’avait fait tomber et il avait aussi un œil au beurre noir. Son nez saignait beaucoup et il était couvert d’écorchures. Contrairement à Robin, il respirait normalement à présent. « Comment va-t-il ? murmura le garçon quand il vit sa sœur. -Encore pire que toi, dit-elle. Je voulais le soigner en priorité en te laissant réfléchir mais il a insisté pour que je te soigne d’abord. Mais qu’est-ce qui t’a pris de l’attaquer comme ça ? Tu es stupide !» ajouta-t-elle, furieuse contre son frère. Elle appliquât ses petites plantes sur les contusions de son frère qui, honteux, ne répondit pas tout de suite à sa question. « Je ne sais pas. J’étais très nerveux et puis son coup a été la goutte qui a fait déborder le vase. -On fait tous des maladresses, ce n’était pas une raison. On s’expliquera plus tard. Voilà, j’ai fini. Rentrons vite, il faut que je m’occupe de Robin. -Vas-y d’abord. Je te rejoins après. -Comme tu veux fit sa sœur. Mais je crois que ta présence lui ferait plaisir. En plus, il a été loyal avec toi. Il aurait très bien pu te lancer un sort et il t’a laissé le temps de te relever. -C’est vrai. » Elianor s’éloigna rapidement. Arrivée à la chaumière, elle vit Gabriel qui l’attendait anxieusement. « Alors, dit-elle. Mais...il respire étrangement et n'a pas l'air d'aller mieux! -Je crois qu’il a toujours eu une faiblesse respiratoire, pas de l’asthme mais quelque chose de plus fort, dit Gabriel. C’était pareil à l’école, à chaque fois qu’il se battait avec quelqu’un ou qu’il se dépensait trop en cours de sport, il passait le reste de la journée à l’infirmerie, à siffler comme maintenant. Et le duel plus la bagarre, ça faisait beaucoup pour lui...
Deux alignements de clichés et de lieux communs avec leurs fautes d'orthographe en l'état (quoique j'ai dû en corriger certaines en relisant arès coup)^^ Tu en as, Siah? | |
| | | Ava Amateurs
Nombre de messages : 42 Age : 31 Localisation : ... Loin Date d'inscription : 10/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mar 16 Sep - 21:21 | |
| Ahah oui en effet j'en ai ! Mais que je n'ai jamais eu l'occasion de taper, donc je ne les ai pas sur l'ordi. Dès que j'ai le temps, je les enregistre.
Et toi Siah, en as-tu ? | |
| | | Adonis Critique
Nombre de messages : 63 Age : 30 Localisation : Devant mon ordinateur. Date d'inscription : 11/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mar 16 Sep - 21:28 | |
| Wow, je ne pensais que tu pouvais faire tant de répétition de noms, Livan ! En ce qui me concerne, je ne crois pas avoir conservé d'écrits amateurs, mais j'ai toujours le premier brouillon d'Akthal, ça vaut tous prix de nullité et de cliché^^. Faudra que je trouve un bon extrait à mettre demain^^ | |
| | | Siah Auteurs en devenir
Nombre de messages : 37 Age : 33 Localisation : Devant ma feuille blanche Date d'inscription : 11/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mar 16 Sep - 21:31 | |
| OUi, j'en ai, mais je ne les ai pas sur moi. ^^ | |
| | | Sindavingiel Amateurs
Nombre de messages : 36 Age : 27 Localisation : Derrière mon écran xD Date d'inscription : 11/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mar 16 Sep - 21:32 | |
| J'ai un truc vraiment, minable... Je crois que je l'ai fait en CM2. C'est court, c'est nul, ça mène à rien. Bref, c'est mes débuts. Et encore, j'ai beaucouppp de choses à progresser en ce moment. - Spoiler:
Elle était là, gisant dans son lit à demi-consciente. Elle, c’est Sindavingiel, une gracieuse elfe aux longs cheveux de jais et aux traits fins. Mais ce soir-là, son beau visage laiteux était en sueur et sa chevelure en était trempée. La douleur la pénétrait et engourdissait ses membres tendus. La maladie lançait son poison et la rongeait. Elle déplia ses jambes mais les remit aussitôt contre son torse tant la souffrance était intense. Elle n’en pouvait plus d’être malade. Son esprit tourmenté rêvait de pouvoir sortir dans la forêt qu’elle aimait tant, de pouvoir gambader et parler avec ses amis et surtout de pouvoir retrouver Nessa, la licorne qu’elle avait apprivoisée. Le majestueux animal venait chaque nuit à sa fenêtre, hennissant de tristesse à l’égard de son amie. Sindavingiel grimaça de douleur ; le chaman avait été clair et la jeune elfe, malgré sa transe fiévreuse l’avait entendu : « Elle a été empoisonnée ! » Sindavingiel, étant arrivée à dormir, rêvait : « Elle marche dans la forêt… Dans une forêt qu’elle ne connaît pas… Elle n’est pas dans sa région car elle connaît tous les bois de celle-ci par cœur… Elle est perdue… Elle marche… Les arbres et leurs quelques feuilles… Le sol tapissé d’ocre, de rouge… du reste des feuillages qui, quelques mois auparavant était accroché à ses acacias, érables etc.… C’est l’automne… Soudain, une ombre se voit au loin… Un animal… Une licorne… Nessa ! Sindavingiel, en voulant l’appeler, la voit disparaître… Sa corne s’illumine et un éclair assourdissant laisse derrière lui le noir total… » Son rêve s’était envolé.
Le bruit de l’eau réveilla Sindavingiel et elle sentit de l’air frais l’envahir. Elle ouvrit les yeux et tenta de se relever, le corps secoué de spasmes. L’endroit où elle se trouvait l’étonna : elle était assise dans une prairie verdoyante à côté d’un grand lac où se réfléchissaient d’imposants arbres centenaires. Mais où était donc passés son lit, sa chambre, sa maison ? Elle était là, toute seule au milieu de nulle part. Son corps brulant grelottait. Sa tête la lançait et une terrible envie de boire l’envahit. L’elfe se pencha pour se désaltérer mais un déséquilibre la fit tomber. Elle pénétra dans une eau vaseuse et noire. En essayant de se débattre, elle fut prise d’’une crampe rapidement et s’enfonça, la terre se mélangeant à ses cheveux. Sindavingiel resta longtemps ainsi, mais elle renonça assez vite. A quoi bon vouloir vivre si c’est pour vivre malade ? Elle sentit le courant l’entraîner doucement avant de s’évanouir.
« Qui suis-je ?... Où suis-je ?... Il n’y a devant moi que du noir… Le noir total… Je vois… Une lumière… » Sindavingiel se réveilla nez à nez avec un bel elfe. Ses longs cheveux blancs étaient striés de mèches noires. L’océan de ses yeux de cristal noya la jeune femme. Cet homme avait quelque chose d’attirant, il la fascinait. Mais, pensa t-elle, il est sur moi ! Comme doté d’une force nouvelle, elle bondit sur ses pieds et commença à le rouer de coups. Surpris, l’inconnu réagit toutefois rapidement et, d’un simple mouvement, la plaqua à terre. Sa tête toucha le sol, et Sindavingiel se retrouva bloquée. Elle sentait le souffle chaud de l’elfe contre sa poitrine. Voyant qu’elle ne pourrait rien faire, elle entreprit de faire connaissance du lieu où elle se trouvait. Rien d’extraordinaire : une sorte de tente pourprée à l’aspect accueillant. Au sol, on avait mis des tapis bariolés aux chatoyantes couleurs. « Ca y est, vous êtes calmée ? » L’inconnu venait de parler, et Sindavingiel lui répondu froidement : - Oui. Lachez-moi immédiatement et répondez à mes questions. Où sommes-nous ? Qui êtes-vous ? Le jeune homme se releva, donnant ainsi la place pour qu’elle se relève et répondit : - En voilà des façons pour nous remerciez, est-ce une coutume chez vous ? Je vous informe que nous vous avons guéri ! Et c’était vrai. La douleur avait quitté notre héroïne et elle était maintenant libre de ses mouvements. Trop surprise, elle n’arriva qu’a articuler le mot « Pourquoi ». « Bah, dit-il, on allait pas laisser une si belle jeune femme mourir sur la berge d’un lac ! Quand à moi, je me prénomme Lliendhi. Il ouvrit le lourd panneau de la tente et conclut : -Bienvenue chez nous, à Alhemda !
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| | | Ava Amateurs
Nombre de messages : 42 Age : 31 Localisation : ... Loin Date d'inscription : 10/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mar 16 Sep - 21:34 | |
| Perso, les débuts de mes débuts (car je me considère toujours débutante ^^) étaient surtout des transcriptions de films. Je m'exerçais à faire passer les sentiments de certains films qui m'avaient particulièrement touché, où qui avait un je-ne-sais-quoi qui différait des autres. | |
| | | Livandil d'Eleissen Bêta-readeur
Nombre de messages : 52 Age : 33 Localisation : Over the stars, in my dreams Date d'inscription : 11/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mar 16 Sep - 21:56 | |
| Pour moi, il s'agissait surtout de retranscription de livres que j'avais apprécié. Je changeais le cadre de l'histoire, le nom des persos et hop! mêmes faits, mêmes aventures. Malheureusement, je n'ai plus ces textes, les ayant oublié sur l'ordinateur de notre ancienne maison. | |
| | | Siah Auteurs en devenir
Nombre de messages : 37 Age : 33 Localisation : Devant ma feuille blanche Date d'inscription : 11/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mar 16 Sep - 21:57 | |
| Sinda, à cet âge-là, je fasais pas ça... T_T
J'écrivais des histoires de poney et de fées... ^^; | |
| | | Tàri Eledwhen Auteurs en devenir
Nombre de messages : 73 Age : 43 Date d'inscription : 10/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mar 16 Sep - 23:04 | |
| Ouh là... oui j'en ai et pas qu'un peu... mais c'est encore sur disquettes pour le moment, alors je vous mettrais ces horreurs quand j'aurais pu tout récupérer. | |
| | | Fraizi Amateurs
Nombre de messages : 15 Age : 32 Date d'inscription : 12/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mer 17 Sep - 15:05 | |
| Pour un début, Sinda', je trouve ça vraiment bien O_O Surtout en CM2 ^^
Alors moi je dois bien avoir des choses mais je ne les ai pas retranscrit sur l'ordinateur, je vais le faire pour vous montrer les horreurs xD | |
| | | coeur de livre Nouveau
Nombre de messages : 7 Age : 28 Localisation : ne cherche pas à savoir, tu n'en a pas besoin Date d'inscription : 15/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mer 17 Sep - 15:28 | |
| wow sinda?Oo tu as écris ça en CM2? je tire bas mon chapeau^^ sinon, je n'ai pas vraiment de début, enfin, j'ai des débuts de textes datant de CM1 sur mon autre ordi. ce que je faisais à cette époque-là, c'était des remix de Harry Potter ou Tara Duncan!xD et encore, l'histoire que j'essaye d'écrire avec une amie y ressemble un peu, ce qui m'énerve!>_< | |
| | | Supo Modo
Nombre de messages : 128 Age : 32 Localisation : Sur un petit nuage Date d'inscription : 10/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mer 17 Sep - 15:59 | |
| Quoi, tu trouve ça nul ton début Sinda? Mais moi je rêve de pouvoir écrire de cette manière là, tout de suite, mainteant...
Peut être que moi aussi je mettrais les seules chose que j'ai écris. Donc, pour être mes debuts, se seront des début(en général, un mini passage écris comme ça, qui ne ressemble à rien! >.<) | |
| | | Sindavingiel Amateurs
Nombre de messages : 36 Age : 27 Localisation : Derrière mon écran xD Date d'inscription : 11/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mer 17 Sep - 18:33 | |
| Oh! J'ai fait bien pire! (C'est le seul truc vieux qui est reté sur mon ordi en fait^^) J'ai des hcoses bien plus catastrophiques... | |
| | | Ithilindil Auteurs en devenir
Nombre de messages : 65 Age : 40 Date d'inscription : 11/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mer 17 Sep - 19:24 | |
| Je ne sais pas si je les ai encore mais mes premières histoires prenaient deux pages. Faudra que je demande à ma mère si elle les a et où. | |
| | | Eden Amateurs
Nombre de messages : 11 Age : 29 Date d'inscription : 13/09/2008
| Sujet: Vos débuts Mer 17 Sep - 19:36 | |
| Moi, j'ai tout jeté...Le tout premier roman que j'ai jamais écrit, en CM2, c'était l'histoire d'une fille qui s'appelait Agénora Black. Elle apprend par sa voisine bizarre, Héra, qu'elle est une sorcière, et tout de suite après, ses parents adoptifs la confient à Héra et partent vivre en Thailande (tout de suite! C'est beau le hasard, non?). Comme toute sorcière qui se respecte, elle va faire ses courses de rentrée à l'Allée des Etincelles (hum) et par ensuite à l'Académie Phyrrus (c'est sa lettre d'admission qui grandit démesurément pour l'avaler et l'emporter). Ils sont répartis en deux maisons par une fille bizarre qui a l'air morte, Irene. Je crois me souvenir que la maison des méchants, c'était Xerès. La maison des gentils, je sais plus comment elle s'appelle. Bien sûr, ils vont tous dans la maison des gentils, et leurs ennemies, Laeticia Basta et Charlène Bouvier sont à Xerès. Peu après, le meilleur ami d'Agénora est retrouvé à moitié dévoré dans la forêt, un curieux objet à côté de lui. Pour fuir la directrice Isabella Yichère, qui se trouve être une vampire (elle a créé l'école pour s'assurer un garde-manger!), Wendy Weasle et Agénora actionnent l'aiguille de l'astrolabe et sont happées par un autre monde en proie à une sanglante guerre civile (mais SANS ELFES!)... Oui, bon, ça a quand même duré deux cahiers de 96 pages, ce truc T_T. Réflexion faite, je n'aurais pas dû tout bazarder, j'aurai pu rigoler, au moins. | |
| | | Ithilindil Auteurs en devenir
Nombre de messages : 65 Age : 40 Date d'inscription : 11/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mer 17 Sep - 20:04 | |
| Je viens de retrouver un des fameux cahiers de mes débuts. Je ne suis pas sûre que c'était mes toutes premières histoires mais ce n'est pas loin. A l'époque, j'étais passionnée par les contes et à l'époque du cahier, j'adorais les Mille et Une Nuits, des histoires de fantômes, etc. Et je faisais aussi beaucoup de fautes (quand c'était pas des dictées^ ^)
Pomme de reinette et Pomme d'api
Pomme de reinette et Pomme d'api font que des bêtises : elle renversent le sucrier. Leur maman se fâche souvent. Quand à papa n'en parlons pas. Un jour Pomme de reinette dit à sa soeur : "si on met la table." Pomme d'api est d'accord. Pomme de reinette prend les assiettes mais elle trébuche à cause du tapis et s'étale de tous son long. Pomme d'api prend les verres, mais elle se cogne et les verres tombent et se brise. En voyant ce spectacle, papa et maman sont en colère. "Vous ne faites que des bêtises. On a n'a marre." Le lendemain les parents disent à leur enfants qu'ils avaient décidés de les mettre en pension. Cette nouvelle est mal accueillie. Quelque temps plus tard les filles partent pour la pension Gabriel. Pomme de reinette et pomme d'api se font plein de copains.
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Je n'ai presque rien corrigé et donc y a vraiment des fautes horribles. En plus, ce n'était pas mon meilleur cahier mais c'est le seul que j'ai retrouvé.
Sinon, voici un poème sur les lutins
Une surprise pour Mademoiselle turquoise
Avec des ailes fines Mademoiselle turquoise a bonne mine Il y a une surprise pour Mademoiselle Dans la fleur lilas il y a un bébé Mademoiselle Turquoise lui donne du lait Elle lui confectionne un chapeau bleu On l'appelle Lutin bleu Le bébé est heureux | |
| | | Supo Modo
Nombre de messages : 128 Age : 32 Localisation : Sur un petit nuage Date d'inscription : 10/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mer 17 Sep - 20:17 | |
| Rohhh, je trouuve ça tout mignon Ith! ^^
Euhh, Eden, ça ne ressemble pas un peu à Harry Potter ton ancienne histoire? | |
| | | Eden Amateurs
Nombre de messages : 11 Age : 29 Date d'inscription : 13/09/2008
| Sujet: Vos débuts Mer 17 Sep - 20:52 | |
| Ben si. En même temps, j'ai fait ça en CM2 et j'étais à fond dedans à l'époque, alors...Voilà pourquoi il y a des "tiens donc" et des "hum" entre parenthèses. C'est une sorte de transcription avec d'autres personnages, comme beaucoup d'autres l'ont faits à neuf ans! | |
| | | Ithilindil Auteurs en devenir
Nombre de messages : 65 Age : 40 Date d'inscription : 11/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mer 17 Sep - 21:00 | |
| Merci Süpö. En même temps, j'avais huit ou neuf ans:) | |
| | | Kylia Nouveau
Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 15/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Sam 20 Sep - 19:12 | |
| J'ai trouvé un texte écrit quand j'avais 11 ans. Je l'ai gardé, pour en rire aujourd'hui et mieux comprendre pourquoi je déteste les prénoms "fantasy" XD Maintenant, je vais me cacher... - Spoiler:
-Son feu est vivant! Regarde, admire, ce que tu as provoqué, fille de l'Air! -Mais ... Mais ...
Sur terre, Azure et Solfaï s'affrontaient, lançant chacune des phrases aussi impures les unes que les autres.
-Je déteste l'eau, hurla la fille du feu, ce n'est qu'un liquide gluant, visqueux, qui abrite des créatures aquatiques dangereuses et qui est ... mystérieux! -Et le feu alors? Je connais déjà son but. Détruire! Je sais son utilité: Semez la terreur! Tu appelles ça un élément? Moi j'appelle ça ... - .. La vie! La vie est de feu ... - ... J'en ai rien à faire, la mort est de feu, la vie et ... - ... d'eau? ... -...Non!
Azure souleva alors une masse énorme d'eau, et la projeta ocntre son ennemi.
-PRENDS CA!
Solfaï leva la main, les yeux soudain rouge.
-Azure ... dit elle d'une voix enrouée. Tu vas connaître, le véritable pouvoir ...
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| | | Supo Modo
Nombre de messages : 128 Age : 32 Localisation : Sur un petit nuage Date d'inscription : 10/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Sam 20 Sep - 19:20 | |
| Je trouve ton texte Kylia très drôle!! -_-'' | |
| | | Kylia Nouveau
Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 15/09/2008
| | | | Sindavingiel Amateurs
Nombre de messages : 36 Age : 27 Localisation : Derrière mon écran xD Date d'inscription : 11/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Dim 5 Oct - 12:22 | |
| En cherchant quelques anciennes fics pour vous faire rigoler, je n'ai retrouvé qu'un carnet de vieux poèmes. C'est dommage elles étaient drôles mes histoires xD - Spoiler:
(Un ressemblant beaucoup à Ouï dire, de Desnos) Quelques mots perdus...
Il y a des mots Qu'on utilisait, qu'on a utilisé mais qu'on utilise plus! Par exemple le verbe badiner, Badiner... Au présent ça fait: Je badine, tu badine, il badine Il badine en mettant gaillardement ses fanfreluches. Nous badinons, vous badinez, elles badines. Elle badinent en prenant la poudre d'escampette pour sortir de leur pénates. Elles badinent... Au passé badiner ça fait: Je badinais, tu badinais... C'est vraiment époustouflant !
(No Comment -_-')
J'ai pas envie de me lever Je suis fatiguée J'ai pas envie de me laver Je suis fatiguée J'ai pas envie de m'habiller Je suis fatiguée J'ai pas envie de travailler Je suis fatiguée Mais c'que j'ai envie de me coucher
Je n'ai qu'une envie Oh oui C'est de dormir, dormir, dormir, dormir.
***
La pleine Lune
Ce soir la lune est pleine, Ce soir je pense à toi. Dehors, tout est silencieuxx. Le monde endormi aux abords De minuit. Pendant que moi je languis Dans mes rêves tu n'es pas. Mais dans mon coeur ton nom est gravé... Gravé pour l'éternité Ce soir la lune est pleine Ce soir je pleure en pensant à toi
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| | | Tàri Eledwhen Auteurs en devenir
Nombre de messages : 73 Age : 43 Date d'inscription : 10/09/2008
| Sujet: Re: Vos débuts Mer 8 Oct - 20:14 | |
| Bon, j'ai retrouvé une fic Star Wars que j'ai écrite il y a presque dix ans... Ne rigolez pas (en plus c'est meme pas cohérent avec l'univers SW -_-). - Spoiler:
En arrivant sur la planète, dans une rue de la capitale, les Jedi furent les témoins d'une étrange scène : plus loin sur la place, une jeune femme aux courts cheveux auburn qui pouvait avoir à peu près l'âge d'Obi-Wan armée d'une épée qu'elle tenait dans sa main gauche, faisait face à un homme mûr, armé, lui, de deux épées. Elle se tenait en attitude défensive devant un tout jeune homme (plus un jeune garçon en fait) qui semblait terrifié. L'homme eut un rire méprise à l'adresse de la jeune femme : - Tu n'as changé, Eeliya Carmayin : toujours à prendre la défense des innocents et des opprimés. - Toi non plus, Arias Landash : toujours à t'attaquer à des gens sans défense. rétorqua ladite Eeliya. (puis au garçon qu'elle protégeait) Vas t'en vite ! Le jeune garçon ne se le fit pas dire deux fois, et détala aussi vite qu'il le put. Il avait à peine disparu, que le dénommé Arias fondit sur elle de ses deux armes, mais la jeune femme, vive comme l'éclair, le para sans difficulté. Il porta ensuite un coup rapide vers son flanc gauche... qu'elle dévia lui aussi. - C'est tout ce que tu sais faire ? se moqua-t-elle. Je m'attendais à mieux venant de toi. Rendu furieux par la remarque, il tenta encore de lui transpercer le côté droit, mais elle n'eut qu'à se déplacer légèrement pour esquiver. Alors, il l'attaqua de toutes ses forces et sans relâche de ses deux épées. Elle enchaîna les séries de parades, et sa prise sur la garde de son épée était si solide, qu'elle fit perdre à son adversaire l'une de ses deux lames. - Bien. fit-elle avec satisfaction. Nous sommes enfin à égalité... mais je n'ai pas de temps à perdre, alors... D'un mouvement souple et avant qu'Arias ait pu esquisser un geste car il était paralysé par la stupeur, elle enveloppa l'épée de son adversaire de la sienne, lui faisant perdre sa prise déjà affaiblie sur sa garde, et la lui fit sauter de la main, puis la rattrapa au vol... le tout en quelques secondes et avec une grande adresse. - Bon allez. Vas t'en maintenant. lui ordonna-t-elle. Furieux de s'être fait battre si facilement et si rapidement (le duel n'avait pris que cinq minutes) par quelqu'un qui était deux fois plus jeune que lui, Landash lui dit : - Tu ne perds pour attendre, Carmayin ! On se retrouvera ! Elle le regarda s'éloigner, l'air désolée en disant : - Ils disent tous ça... Elle avait à peine rangé son arme dans le fourreau qu'elle portait dans le dos, qu'une demi douzaine d'enfants (qui avaient dû regarder le duel de loin), surgirent de tous les côtés, et l'entourèrent en criant tous à la fois : - Eeliya ! Eeliya ! - C'était trop bien ! - Comment tu l'as eu ! - Tu lui a réglé son compte à ce nul ! - T'es trop forte ! - Les enfants, les enfants ! C'est gentil, mais taisez-vous un peu, leur dit-elle en souriant, à force de crier, vous allez me donner mal à la tête. Maintenant, laissez-moi. Je dois y aller. Aussitôt dit, aussitôt fait, les enfants s'empressèrent d'obéir à leur héroïne. - Au revoir Eeliya ! dirent les six enfants en chœur. En s'éloignant, elle passa sans les voir devant les Jedi médusés par sa façon de combattre. - Maître, dit alors Obi-Wan à Qui-Gon, vous avez vu ça ? Sa technique n'avait rien à envier au mieux entraîné des Jedi. - Je suis de ton avis Obi-Wan. Répondit ce dernier. De plus, j'ai senti que la Force était assez intense en elle. Mais elle ne semble pas en avoir conscience. C'est étrange que quelqu'un doté d'un fort potentiel de Jedi et vivant dans la République n'ai pas été détecté. Maintenant, c'est trop tard. Elle est beaucoup trop âgée pour commencer sa formation. - Raison tu as Qui-Gon. dit Yaddle, la consœur de Yoda. Trop âgée elle est. Mais des bases nous pourrions lui apprendre, car un crime ce serait de laisser inexploitées de telles facultés. Obi-Wan (le Padawan baissa les yeux sur le petit Maître-Jedi), la rattraper tu dois. Et la faire venir devant nous. - Bien, Maître. Répondit le jeune homme. Cela dit, il s'éloigna dans la direction qu'avait pris Eeliya, et se concentra sur la Force pour la repérer... ce qui ne fut pas bien long, car la jeune femme ne cherchait visiblement pas à se cacher. Il la retrouva dans une petite rue, à l'intérieur d'un bar assez peu éclairé. Accoudée au comptoir, elle sirotait une boisson de couleur indéfinissable. Il rabattit la capuche de sa bure de Jedi sur sa tête, et se dirigea vers elle. - Eeliya Carmayin ? l'interpella-t-il. Elle se tourna vers lui, et le Padawan se retrouva devant les plus magnifiques yeux (de toute façon, dans cette pénombre, c'était la seule chose qu'il pût discerner) qu'il ait jamais vu : bleu lagon. - Ca dépend qui la demande. répondit-elle, prudente. - Je m'appelle Obi-Wan Kenobi. répondit-il, un peu déstabilisé par les yeux qui le fixaient. Elle l'observa des pieds à la tête (visiblement elle n'était pas gênée par le manque de lumière et y voyait très bien), eût un sourire appréciateur qu'il ne vît pas, et demanda : - Vous êtes un Jedi ? - Apprenti, oui. précisa-t-il. - Que peut bien me vouloir un apprenti Jedi ? - Il faut que je vous parle. Où pouvons-nous être tranquilles ? Elle rit doucement. - Il y a tant de bruit ici, que personne ne fera attention à ce que nous dirons. Je vous écoute. - Bien alors. Mes Maîtres et moi... - Vos Maîtres ? Vous en avez plusieurs ? l'interrompit-elle. - Non, un seul, mais les Jedi qui m'accompagnent sont des Chevaliers et des Maîtres Jedi. Répondit-il avant de poursuivre : ... vous avons vu combattre cet homme tout à l'heure... - Quel homme ?... Ah... Arias Landash. Un lâche... Il s'en prend toujours à ceux qui ne peuvent pas se défendre. - ... et nous avons admiré votre style. - Vraiment ? fit-elle, sceptique en mettant les poings sur ses hanches. Le jeune homme hocha la tête en guise d'assentiment. - Ils aimeraient vous rencontrer. - Moi ? - Exact. - Pour quoi faire ? - Ce n'est pas à moi de vous en parler. - Dites, par curiosité, vous êtes en apprentissage depuis combien de temps ? lui demanda-t-elle. - 12 ans ½ en formation continue avec d'autres étudiants, et 12 ans en tant que Padawan de Maître Qui-Gon Jinn. lui répondit-il en bombant le torse avec fierté (car Qui-Gon n'était pas n'importe qui) tout en sachant que ce n'était pas tout à fait vrai car il y avait eu une interruption dans son apprentissage avec Qui-Gon, quand, à 13 ans, il avait abandonné ce dernier pour aider le peuple de la planète Mélida/Daan qui entrait en guerre civile, et que son Maître avait eu du mal à se décider à le reprendre comme Padawan. Elle eût l'air sincèrement impressionnée, bien qu'elle ignorât qui pouvait bien être le fameux Qui-Gon. - Whoa ! Ca fait, ça fait... Bon sang, ça fait 24 ans ½ ! - Je suis entré au Temple quand j'avais 6 mois. - Et quand aurez-vous terminé votre apprentissage ? Il haussa les épaules, sachant qu'elle le voyait faire. - Seul Maître Qui-Gon le sait. Et vous, depuis combien de temps maniez-vous l'épée de cette façon ? - Oh, je ne sais plus au juste... peut-être (elle fit un rapide calcul) 17 ans. J'ai commencé à apprendre toute seule à 6 ans. - Seule ? - Il n'y avait personne pour m'apprendre. Il a bien fallu que je me débrouille toute seule. répondit-elle. - Là, c'est à mon tour d'être impressionné. Donc, vous êtes une autodidacte de... 23 ans. C'est ça ? - Exact. - Dans ce cas, nous avons presque le même âge. - Comment ça ? - J'ai 25 ans. - Vraiment ? - Absolument. Mais si vous voulez bien me suivre à présent, mes Maîtres vous attendent. - Je vous suis. Ils sortirent du bar, et reprirent le chemin en sens inverse jusqu'à la place, et se dirigèrent vers l'endroit où Obi-Wan avait laissé les sept Maîtres. - Maîtres, je vous présente Eeliya Carmayin. fit Obi-Wan. - Qui elle est nous savons Obi-Wan. lui dit Yaddle. Inutile de nous la présenter. (puis à la jeune femme) Yaddle je me nomme. Enchantés de vous connaître nous sommes. Surprise par la façon de parler de la Jedi, Eeliya interrogea Obi-Wan du regard : visiblement, elle n'avait jamais rencontré aucun des congénères des deux petits Maîtres. Sa réaction fit rire la Jedi. - Surprise vous êtes de ma façon de parler je vois. - Oui... Enfin non... Enfin si, c'est vrai. A vrai dire, je ne comprend pas bien pourquoi je suis là. Obi-Wan m'a dit que vous vouliez me parler de quelque chose. - Vous a-t-il expliqué pourquoi ? demanda Qui-Gon. - Non Maître. répondit le jeune homme à sa place. J'ai pensé que c'était à vous et autres Maîtres de le faire. La jeune femme nota mentalement que le Maître d'Obi-Wan, le Qui-Gon dont il lui parlait tout à l'heure, était le grand humain aux cheveux grisonnants assez longs d'allure noble et majestueuse. - Bien fait tu as. l'approuva Yaddle. - Alors ? s'impatienta Eeliya. Qui-Gon et Ki-Adi-Mundi se jetèrent un regard entendu : elle était aussi impatiente qu'Obi-Wan à ses débuts. - Nous avons constaté votre habileté à l'épée, lui dit le Jedi cornu dont elle ignorait le nom (elle devait l'apprendre un peu plus tard, ainsi que les noms de tous les autres), et remarqué que la Force est très présente en vous. - Et ? interrogea-t-elle en croisant les bras sur sa poitrine. - Nous ne pouvons pas vous former à devenir une Jedi, car vous êtes beaucoup trop âgée pour commencer votre formation... Eeliya eût l'air déçue. - Oh... - Quel âge avez-vous ? lui demanda une belle femme à la peau noire qui portait une coiffe à "membranes". - 23 ans... Maître. répondit la jeune femme qui, ne savant comment s'adresser à ces gens si puissants, imita la façon de parler d'Obi-Wan. - C'est ce que nous disions. Elle est trop âgée. murmura Ki-Adi-Mundi à Qui-Gon. - ... Mais, si vous le souhaitez, nous pouvons vous apprendre les bases de la maîtrise de la Force. Poursuivit le Jedi cornu. - Cool ! - Mais nous accompagner sur Coruscant pour cela vous devez. précisa Yaddle. - Oh... Une fois de plus, Eeliya eût l'air déçue, mais les Maîtres discernèrent d'autres choses dans sa voix que de la déception : de la peur, mais aussi un sentiment plus fort qu'ils n'arrivèrent pas tout de suite à définir. - Je suis désolée... mais il m'est... impossible de quitter la... la planète pour le moment. balbutia-t-elle. Je viendrais peut-être un jour. - Vous serez la bienvenue. lui dit le Jedi à la tête allongée de sa voix douce. Quand vous déciderez de venir, rendez-vous directement au Temple Jedi, et demandez à voir Obi-Wan. Surpris, celui-ci leva les yeux vers le Céréen. - Puisque vous vous connaissez, ce sera plus simple. ajouta le Maître-Jedi. Le regard des deux jeunes gens se croisèrent, puis Eeliya rougit et baissa les yeux. Comprenant ce qui se passait, Qui-Gon, qui avait surpris cet échange de regard, observa son Padawan d'un air franchement réprobateur. - Très bien. fit la jeune femme, qui, elle, n'avait pas vu ce regard. Je dois partir maintenant. Au revoir. ajouta-t-elle avec un regard appuyé pour Obi-Wan. Et elle s'éloigna, non sans s'être retournée pour le voir une dernière fois. Quand elle eût disparu de leur vue, Obi-Wan se tourna vers les Jedi pour dire quelque chose, mais, avant qu'il ait pu prononcer une parole, Qui-Gon lui dit sévèrement : - Obi-Wan ! Non ! - Maître ? fit le jeune homme qui ne comprenait que trop bien la raison de la colère de son Maître. - C'est interdit ! N'y pense plus ! - Mais Maître... tenta-t-il de protester. - Padawan... fit le Chevalier Jedi d'un ton menaçant. - Bien, Maître. fit le jeune homme, qui savait par expérience qu'il valait mieux ne pas répliquer lorsque son Maître l'appelait "Padawan" (c'était presque toujours mauvais signe), mais qui comptait bien revoir Eeliya malgré tout car, à la lumière du jour, il la trouvait très à son goût. Ils ré-embarquèrent tous dans le vaisseau qui les avait amenés, et ne tardèrent pas à rentrer sur Coruscant. Pendant ce temps, Eeliya se disait qu'elle aurait voulu les suivre tout de suite (car après tout, elle avait deux bonnes raison de les suivre sur Coruscant : apprendre à maîtriser un peu la Force, et surtout, revoir Obi-Wan), mais elle avait eu peur. Peur des austères Maîtres-Jedi. Peur de devoir obéir à des ordres, elle qui avait toujours été son propre maître. Mais son attirance pour le bel apprenti Jedi était forte... plus forte que sa crainte, et elle se promit de régler au plus vite ses affaires pour partir vers la ville-planète avant qu'il ne l'oublie. C'est pourquoi, moins de deux jours plus tard, elle se rendit au spatioport, et qu'elle affréta un vaisseau qui l'y conduisit. Avant d'avoir eu le temps de dire ouf, elle se retrouva à marcher dans les rues de la capitale de la République en direction du Temple Jedi, dont elle avait demandé la direction à un Bith qui passait par là. Lorsqu'elle se présenta à la porte, deux gardes lui parrèrent le passage. - Halte ! lui dit l'un d'eux. Qui êtes-vous et que voulez-vous ? - Je m'appelle Eeliya Carmayin, et je voudrais parler à Obi-Wan Kenobi. répondit-elle. - Vois êtes attendue ? - Pas exactement, mais appelez-le. Lui saura. - Je le contacte. Dit le deuxième en activant son comlink. Il prononça quelques phrases, et répéta la réponse : - Il arrive. Effectivement, quelques minutes plus tard, la silhouette du jeune homme s'encadrait dans la porte. - Laissez-la passer. Le Conseil l'attend. dit-il aux gardes. Ceux-ci s'exécutèrent, et la jeune femme entra. - C'est vrai ? Le Conseil m'attend déjà ? - J'ai prévenu les Maîtres de votre... ta présence avant de descendre. dit-il en la précédant dans le turboélévateur. Mais je ne pensais pas que tu pourrais te libérer si vite. ajouta-t-il tandis qu'elle y entrait à son tour. Ils ne dirent mot ni l'un ni l'autre pendant tout le temps où l'appareil montait, mais Obi-Wan devait se faire violence pour ne pas la toucher, la prendre dans ses bras... l'embrasser. Mais cette retenue le mettait au supplice, aussi il ne fut pas fâché quand le turboélévateur arriva à destination. En en sortant, Eeliya se retrouva dans le "hall" de la salle du Conseil, devant les portes de transparacier qui coulissèrent dès qu'elle s'en approcha. - Entrer vous pouvez. lui dit un Maître qui ressemblait à Maître Yaddle par son apparence et sa façon de parler. Soudain saisie de la même peur qu'auparavant, elle chercha le regard d'Obi-Wan, et agrippa sa main d'un geste convulsif. Lisant la crainte dans ses beaux yeux, celui-ci, d'un regard, d'un sourire et d'une brève pression de la main, tenta de la rassurer. Elle lui sourit bravement, puis pénétra dans la salle et avança jusqu'à son centre tandis qu'Obi-Wan demeurait devant les portes refermées. Elle constata que le Conseil des Jedi était constitué de 12 membres, avec, de gauche à droite : une femme presque humaine et très svelte (Depa Billaba), un alien chauve et cornu (Eeth Koth), un alien au long cou et à la petite tête (Yarael Poof), l'humaine à la peau noire et à la coiffe à "membranes" qu'elle avait déjà vue (Adi Gallia), un alien à la tête recouverte d'une fourrure blanche (Oppo Rancisis), un alien aux grandes oreilles dont le visage était boursouflé par un longue cicatrice (Even Piell), Maître Yaddle, l'alien cornu qui lui avait proposé la formation (Seasii Tiin), le Jedi à la tête allongée et à la voix douce qu'elle connaissait déjà (Ki-Adi-Mundi), le Mâitre ressemblant à Maître Yaddle (Yoda), un humain à la peau noir et au crâne lisse (Mace Windu), et un alien portant un masque respiratoire (Plo Koon). A sa grande surprise, Qui-Gon Jinn, le Maître d'Obi-Wan, n'en faisait pas partie.
Je vous ai mis qu'une partie parce que meme si c'est un OS, c'est un peu long quand meme. | |
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