Gallerie de poèmes de Tàri

J'espère ne pas avoir mal compris l'intitulé de ce forum...
Voilà tous mes poèmes. Ils commencent à dater et la grande majorité d'entre eux est triste voir déprimante, mais je les met quand meme.


PEINE
Sombre je suis même si je n'y parais pas,
Sombre est ma vie et sombres sont mes pas.
J'avance sur le chemin tout tracé par la vie,
Mais mon avenir doucement s'obscurcit.
Mon futur, je ne le distingue guère.
Qui, un jour, entendra mes prières ?
Qui viendra, tel un ange me sauver ?
Sauver mon âme qui s'enlise dans la peine,
Et ne me fait sentir plus que rage et que haine.
Cette personne peut-être est-elle déjà là,
Mais si je ne m'en apercevais pas,
Passerait-elle comme un songe, devant moi ?
Me laissant désemparée, telle une âme en peine,
Sans espoir, sans amour ni lumière.
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DECEPTIONS
Le froid de l'hiver emplit mon coeur de tristesse,
Et menace de me faire céder à la détresse,
Qui, quand je n'y prends garde m'envahit,
Lorsque je contemple à quoi ressemble ma vie :
Les amis sont comme les oiseaux, volages,
Ils ne donnent pas toujours que des avis sages.
La famille, c'est terrible, bien pire encore,
Toujours ils sont, mais jamais d'accord.
Jamais travail ne me donne satisfaction,
Je n'y récolte que des horions.
Heureusement, l'amour demeure toujours,
Et reste mon ultime recours,
La bouée de sauvetage à laquelle m'accrocher,
Et ainsi éviter de sombrer,
Dans la folie tapie en moi,
Qui toujours guette mes pas.
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INTERROGATIONS
L'obscurité me dispute à la lumière.
Laquelle sera vainqueur en mon âme ?
Laquelle prendra le dessus dans mon esprit ?
Douce et gentille, tout le monde dit que je le suis,
Mais qui sait, au fond de moi, quel monstre est tapi.
Peut-être est-il là,
Ou bien peut-être pas,
Mais parfois, je ne me reconnais plus.
D'ailleurs, me suis-je jamais vraiment connue ?
Peut-être, comme les autres, me suis-je trompée sur mon compte,
Me suis-je laissée aller aux choses que l'on raconte.
Mais à quoi sert de s'interroger ?
Si le mal est en moi, s'il est bien installé,
Arriverai-je jamais à l'en déloger ?
Mais peut-être n'est-il que simple illusion,
Que méchante rêverie, que vaine illusion...
Dans ce cas, inutile de s'alarmer,
Il s'en ira comme il s'est installé,
Sans bruit, sournoisement, sans prévenir,
Même s'il met bien du temps à partir.
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INEXISTANTE
Je sombre au fond d'un abîme qui n'a pas de fin,
Et met en doute mon existence et ma réalité.
Malgré le monde, personne ne fait attention à moi.
C'est pathétique, je sais, de croire cela,
Mais c'est ce que je ressens tout au fond de moi.

MON NOM EST PERSONNE
Aussi immatérielle qu'une ombre,
Aussi intengible que le vent,
Aussi irréelle que l'air et le temps.
Plus transparente que l'eau la plus cristalline,
Plus insignifiante que le plus petit des oiseaux,
Plus quelconque que le plus anonyme des anonymes,
Je ne suis personne.
Je ne compte pas.
Le monde tourne sans moi,
Et c'est très bien comme ça.
Car, qui a besoin d'une inutile ?
D'une fille qui a la larme facile ?
Qui ne pourrait s'en passer ?
La supporter sans être agacé ?
Personne, je le sais gtrès bien.
Etre seule, tel est mon destin.
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MORCELEE
Dehors le soleil brille et l’air est doux,
Mais en moi il fait froid.
Mon cœur déchiré saigne,
Et pleure mes frères et ma sœur.
En être séparée est dur,
Leur absence me pèse terriblement,
Et chaque jour qui passe,
Est comme une nouvelle blessure
A mon amour pour eux.
Entre nous n’est existant nul lien de sang,
Mais affection et amour sincères
Ne sont-ils pas ciment plus puissant ?
Qu’il me semble loin le jour
Où tous les trois réunis je les verrai.
Si loin qu’il me semble qu’il ne viendra jamais.
O temps, accélère ton cours inexorable,
Pour enfin sécher mes larmes,
Et apaiser mon cœur en souffrance.
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PETIT FRERE
Plus le temps passe,
Et plus je m'attache à toi.
Entre nous n'est existant nul lien de sang,
Et je ne te connais que depuis deux ans,
Mais cela n'a aucune importance à mes yeux.
Je t'aime pour tes qualités,
Je t'aime pour tes défauts,
Je t'aime pour ce que tu es,
Le bon comme le mauvais.
Tu es quelqu'un de bien,
Ton âme est belle quoi que tu en dises.
Je le sais,
Car les yeux du c½ur ne mentent jamais.
La distance qui nous sépare,
Pourrait en décourager de plus braves,
Mais elle ne fait que renforcer,
L'affection profonde et sincère que je te porte.
Telle la s½ur que j'espère être pour toi,
Je serai toujours là.
Mon soutien t'es acquis quoi qu'il arrive,
Tu as pu le constater par toi-même,
Pour toujours et à jamais.
Je ne suis pas de celles,
Qui font les choses à moitié,
Et lorsque je donne amour et amitié,
Les personnes qui en sont l'objet,
Sont assurées d'un soutien sans faille.
Et pourtant, je ne les accorde pas facilement.
Mais je sens instinctivement,
A qui les donner sans risquer d'être trompée.
Et avec toi,
Je sais que j'ai fais le bon choix.
Je t'aime petit frère.

CORPS DE PAPIER
Pourquoi créer si c'est pour tuer ?
Pourquoi faire s'aimer si c'est pour séparer ?
Pourquoi s'attacher si c'est pour pleurer ?
Corps de papier ballottés par nos pensées,
Si vous pouviez imaginer la douleur engendrée,
Transperçant coeur et âme comme acier trempé.
Mais ce que vous souffrez,
Est indépendant de la volonté.
La plume du romancier,
Sait-elle qu'elle est destinée à tuer ?
Nul ne peut le deviner.
Mais lorsque vient le mot tant souhaité,
Chacun se sent soulagé.
Vous n'êtes que mots couchés sur feuille glacée,
Pourtant vous vivez, aimez et mourrez.
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ODE A KROHN
Je t'ai détesté,
Je me suis attachée,
Je t'ai adoré,
Je t'ai pleuré.
Tu n'était que ce qu'elle avait décidé,
Mais tu vivais.
Mots sur papier,
Dessins devenus réalité
Sous nos plumes inspirées,
Nous t'avons tué.
Pourras-tu nous pardonner ?
Saisir pourquoi nous l'avons fait ?
Même si je ne t'ai pas créé,
En moi un vide ta mort a laissé,
Qui jamais ne sera comblé.
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DESOLATION
L’hiver est père de toutes les tristesses
Et sème la désolation en mon cœur
Déjà meurtri.
Toute joie en est bannie et nul ne peut l’égayer.
L’ombre de la peine plane sur moi et me rappelle
Que les gens qu’on aime sont souvent cause
Des pires souffrances
Et des plus atroces déceptions.
La fatalité me poursuit et sans cesse
M’éloigne de ceux qui me sont chers.
Quand la mort, cruelle, me prendra-t-elle ?
Quand abrègera-t-elle mes tourments ?
Quand viendra-t-elle me libérer ?
Et si elle ne le fait pas,
Qui ôtera de mon cœur la main du destin ?
Qui en recollera les morceaux
Piétinés par des hordes de souvenirs douloureux ?
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FAUCHEE EN PLEIN VOL
Elle était heureuse,
Puis ne l’a plus été.
Elle a retrouvé l’amour et sa vie…
Mais on les lui a soudain pris.
« Les sentiments n’ont pas leur place » ont-ils dit,
Mais nul ne veut se mettre à la sienne.
L’amour est son essence, ce qui la fait exister,
Mais elle ne peut plus l’exprimer.
Amputée d’une partie d’elle-même,
Va-t-elle errer comme une âme en peine ?
Après un coup si terrible,
Pourra-t-elle encore être elle-même ?
A l’heure actuelle, rien n’est moins sûr,
Car nul ne la rassure.
Fauchée en plein vol tel un oiseau chassé,
Puisqu’on lui interdit d’aimer,
Elle est déprimée, déboussolée,
Elle se demander à quoi bon exister.
Une existence vide de sentiments,
Vaut-elle le coup d’être vécue réellement ?
A cette question elle ne possède nulle réponse,
L’avenir seul lui apportera la réponse.

INCAPABLE
Incapable de tout,
Et capable de rien,
Je ne sais rien faire,
Et ne sers à rien.
Egoïste, stupide, crédule et j’en oublie,
Voilà à quoi se résume mon être.
Incapable de trouver et garder un emploi,
Incapable d’aider mes amis dans le désarroi,
Incapable de parler à quelqu’un sans croire à tout ce qu’il dit,
Ou d’être blessée par la moindre parole…
Une éternelle assistée,
Voilà ce que je suis,
Et à quoi se résume ma vie.
Des qualités,
Je ne m’en connais pas,
Bien que certains veuillent croire en moi.
Ils ne voient pas la vérité,
Me mettant sur un piédestal dont j’ai vite fait de tomber.
Qui leur ouvrira les yeux ?
Leur dira que je ne suis pas ce qu’ils veulent croire ?
Lorsque cela arrivera,
Ils se détourneront de moi.
Normal, je ne leur en voudrais pas.
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REVERIE FLETRIE
Un songe que depuis des années,
J’espérais en secret, un jour devenir réalité,
Un rêve jamais oublié,
Comme une bouée où me raccrocher.
Mais quelques mots reçus,
Et tout est perdu.
Une image brièvement imaginée,
Et par le vent d’une parole disséminée.
La rêverie s’est flétrie,
A disparu dans la nuit.
La réaliser,
Chimère inespérée,
Et définitivement arrêtée.
Tristesse je ressens,
Déception vraiment,
Car c’est surprenant.
Mais savoir est préférable,
Que de nourrir de faux espoirs,
Qui déçus auraient été.
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TRISTESSE SANS NOM
De le revoir je me faisais une joie,
Car ne l'avais pas vu depuis des mois,
Seulement voilà...
Il ne viendra pas.
Préférant un autre à moi,
Il a choisi Andréa.
Il en a tout à fait le droit...
Mais la sensation est là.
Cruelle déception,
Tristesse sans nom,
Mais c'est sa décision.
C'est son choix,
Et je ne peux aller contre ça.
Mon cœur saigne de cette déclaration,
Mais la résignation,
Est la seule solution.
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TOUT RATE
D'à la hauteur me montrer j'ai essayé,
De voler décontractée j'ai tenté,
Mais lamentablement j'ai échoué,
La mission est manquée.
Pour une affaire de vocabulaire,
D'équipier tête en l'air,
D'appareils alliés camouflés, non repérés et tirés.
Mais comment aurais-je pu deviner,
Que pour l'intégrer,
S'y connaître il fallait ?
Si je l'avais su je n'aurais même pas demandé,
Et encore moins participé,
Car en la matière mon ignorance est un néant,
Qui pourrait remplir un océan.

JOEL, MON AMI
Un ami est quelqu’un de précieux,
A qui on peut se confier pour aller mieux.
Quelqu’un de rare et d’unique,
Avec qui passer des moments magiques.
Toujours disponible,
Jamais blessant,
Il est là à tout moment.
Epaule sur laquelle pleurer,
Oreille attentive et compatissante,
Compagnon des joies et des peines,
Il sait toujours trouver les mots,
Et même vous brusquer quand il le faut.
Cet ami là, je l’ai trouvé,
Là où jamais je ne l’aurais pensé.
Joël il s’appelle,
Et son nom rime avec « amitié éternelle ».
Beaucoup diront que c’est folie,
Que je ne sais rien de lui.
Mais mon cœur en la matière,
Jamais ne se perd.
Peu importe le temps passé,
L’âge ou le mode de pensée,
C’est égal et je l’aime,
Car à nul autre il n’est pareil.
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JOYEUX ANNIVERSAIRE JOEL
Tout a commencé il y a quelques mois,
Alors qu'on ne se connaissait pas.
Et puis une mission a tout changé,
Où nous nous sommes découvert de l'amitié,
Qui au fil du temps s'est renforcée.
En toi j'ai trouvé plus qu'un ami, un frère,
Avec qui partager même mes petites misères.
Et maintenant que nous en sommes là,
Je ne vois plus ma vie sans toi,
J'espère qu'il en est de même pour toi.
Je te souhaite un très joyeux anniversaire,
Qu'il exauce toutes tes prières.
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CRUEL DILEMME
Une trinité de personnalités,
Que tout opposait, mais que le destin a rapproché,
Pour le meilleur, mais aussi pour le pire.
Amis et rivaux, se disputant son cœur,
Elle aimait les deux, quelle fatale erreur.
Prêts à tout pour elle, ils se sont battus,
Et la haine étreint maintenant leur cœur mis à nu.
Choisir lui parait acte impossible,
Bien qu’elle essaie, elle trouve cela terrible.
Elle se demande comment les départager,
Mais comment se résoudre à blesser,
Des sentiments si purs et si entiers ?
De ses émotions, elle se trouve prise au piège,
Prise entre deux feux, son cœur se désagrège.
Elle espère un signe qui seul l’aidera,
Pourtant elle ne s’illusionne pas.
Elle sait que tôt ou tard, il lui faudra choisir,
L’homme honnête et droit auquel son cœur aspire.
Entre un guerrier valeureux, frère de son amie,
Et le meilleur ami de celle-ci,
Son cœur balance, elle ne sait comment faire,
Et cette situation la désespère.
Elle se dit pourtant qu’elle y arrivera,
Et cet espoir guide chacun de ses pas.
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LE CHOIX EST FAIT
Longtemps elle a hésité,
Puis elle s’est décidée.
Espérant le repousser sans le blesser,
Vers lui elle s’est dirigée.
Le cœur en mille fragments,
Au prix de mille tourments,
Elle lui a fait part de ses arguments.
Elle savait qu’il aurait mal, qu’il serait triste,
Pourtant la violence de sa réaction l’a surprise.
Rejetant en bloc amour fraternel et amitié,
Sur lui-même il s’est refermé,
Dans une prison de silence, de froideur il s’est muré,
Et nul ne peut l’accepter.
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AMOUREUX SEPARES
Deux cœurs esseulés que l’amour a rapprochés,
Deux personnalités qui se sont retrouvées liées.
Mais un lien de sang s’en est mêlé,
Qui en frère et sœur d’âme les a changés.
Le Z’alen’maril s’est interposé,
Qui empêche les Naouldiar de s’aimer.
Pauvres Tara et Robin maltraités par la vie,
Qui n’éprouvent jamais aucun répit.
Ils s’aiment mais ne peuvent plus se toucher,
Ils se demandent qui pourra les délivrer,
Car rester l’un près de l’autre sans pouvoir s’aimer,
Est une épreuve bien difficile à supporter.

ASSASSIN AGACEE
Le seul à lui résister
Dès le début il l’avait énervée.
Ce général de malheur,
A qui elle n’inspirait pas la peur.
Elle avait dû s’échapper,
Pour mieux revenir contre-attaquer,
Mais il l’avait capturée.
Enfin libérée, elle ne pouvait pourtant plus se venger,
Car par un serment il la tenait.
Et puis elle l’avait rencontré,
Lui, si particulier.
Ils s’étaient aimés,
Et un jour elle avait découvert son identité,
Mais elle ne s’était pas énervée.
Quoi ? Un général à son tableau de chasse accroché,
C’était loin d’être une catastrophe à déplorer.
« C’est physique et par autre chose » avait-il déclaré,
Parait car c’est tout ce qu’elle souhaitait.
Un assassin ne peut s’attacher.
Pourtant lorsqu’il fut agressé,
Et grièvement blessé,
Elle était restée pour une raison indéterminée.
Avec difficulté elle parvenait à dissocier,
Ses deux identités bien séparées.
Celui qu’en civil il était, presque tendre et attentionné,
Et le général, si sec et peu affectionné.
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STARGAZERS
Chevalier Jedi chargée de responsabilités,
Elle était en mission lorsqu’elle fut enlevée.
Par un caprice du temps elle fut déposée,
Aux pieds d’un inconnu que tout lui opposait.
Sur la défensive, ils ne se sont d’abord pas entendus,
Puis il eût pitié et décida de l’aider.
Les débuts furent difficiles, voir ardus.
A cause de leurs différences et malgré sa bonne volonté,
Elle eût du mal à s’intégrer à leur société,
Mais au fil du temps, bloquée dans leur cité,
Les choses finirent par s’améliorer,
Et tous deux finirent par s’aimer.
C’est alors que le temps les reprit comme jouets,
Les déposant à Coruscant comme si de rien n’était.
Devenu son Padawan, il fut jalousé,
Par l’apprenti en titre de sa douce moitié.
Mais lorsque leur amour fut révélé,
A cause du danger qu’ils couraient,
La magie fut utilisée pour les renvoyer,
Su AutreMonde où ils purent enfin s’aimer en toute impunité.
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DEVOILEE
Vêtements ajustés, cheveux coupés,
En homme elle s’était déguisée,
Afin d’intégrer la Guilde si convoitée.
On le lui avait donné comme compagnon de chambrée,
Et tout de suite, son cœur s’était emballé.
Devant ce visage d’ange, comment résister ?
Mais elle ne devait pas se dévoiler.
Pourtant, une maladresse et elle fut devinée,
Par celui-là même qu’elle avait appris à aimer.
Gardien de son secret, il lui prit un baiser,
Et elle eût l’impression de voler.
Comment, désormais, parvenir à cacher,
Les sentiments si forts qu’il lui inspirait ?
Comment réussir, chaque jour, à feindre de l’indifférer ?
Par avance, elle en était désespérée.
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OISEAU BLESSE
Un oisillon enfermé,
Dans une jolie cage dorée.
Un oisillon privé de liberté,
Et impitoyablement blessé,
Par ceux qui devraient le protéger.
Il a les ailes liées,
Il est déprimé,
Mais tout le monde semble s’en moquer.
Pourquoi une telle cruauté,
Envers cette créature brimée ?
Elle est seule au monde,
Elle est épuisée, démoralisée,
Pourtant elle continue d’espérer,
En secret,
Le miracle qui pourra l’aider.
Qui enfin saura l’écouter ?
Panser son cœur écorché ?
Elle n’en sait rien mais elle espère,
Avoir vraiment des amis sincères,
Seuls bouées auxquelles elle puisse s’accrocher.

C'est vraiment beau ! Les quatre premiers, surtout, m'ont beaucoup plût, mais tous sont vraiment envoûtants (sauf celui avec Star Wars, celui-là je n'ai pas beaucoup apprécié).

Merci à toi

Je n'avais plus écris de poème depuis longtemps, mais après la sortie de Tara 6, j'en ai ressenti un besoin impérieux.

En voici donc un nouveau :

DECHIRES
Déchirés, mutilés,
Mon coeur et mon âme comme amputés,
Luttent pour conserver leur réalité.
Absence prolongée, problème de proximité,
Frère et soeur de moi éloignés,
Créent un vide que je ne puis combler.
Des amis j'en possède,
Pourtant rien ne réduit ma peine,
Nul n'arrive à sécher mes larmes.
Seule le pourrait leur présence,
Car ce qu me pèse est leur absence.
O temps, accélère ton cours,
Fais que les jours parraissent plus courts,
Que vienne le temps de nos retouvailles,
Pour remettre en place mon coeur qui déraille.

Après l'annonce de la merveilleuse nouvelle concernant Lliane et Hony, un poème m'est venu du plus profond d mon coeur et de mon âme. Le premier poème heureux que j'écris. Le voici :

ENFIN
Toute ma vie j'ai toujours cru,
Que je ne serais qu'un fardeau et rien de plus.
Depuis des années on m'a obligée à intégrer,
Que je ne suis qu'un parasite de la société.
Ainsi endoctrinée, j'avais fini par le croire,
Malgré Lui, je n'avais plus guère d'espoir.
Mais hier tout a basculé,
Quelques mots, quelques phrases bien placées et c'est arrivé.
Grâce à moi ils se sont déclarés,
Se sont promis amour et fidélité.
De cela, stupidement, je suis très fière,
Tant que j'ai envie de le crier à la Terre entière,
Tellement que j'ai envie de sauter, de chanter, de danser,
Pour montrer au monde à quel point cette nouvelle, qui m'a fait pleurer de joie,
Entre toutes est importante pour moi.
Enfin ma vie a servi,
Enfin j'ai été utile et je m'en sens plus que grandie... anoblie.
Je ne crois pas, jusqu'ici, avoir déjà ressenti cette sensation,
Celle d'une joie, d'un bonheur qui fait presque perdre la raison.
Pour eux comme pour moi cet instant est magique :
Ils s'aiment et c'est magnifique,
Je vis réellement, j'existe et c'est unique.
Grâce à moi ils sont un,
Grâce à eux je ne suis plus "rien".
C'est pourquoi je le leur dédie ce soir,
Ces vers maladroits né d'un fol espoir,
Ces paroles malabiles nées d'un instant d'euphorie,
Qui pourtant me font me sentir en vie.
Jade, Cédric... merci.

Je dois t'avouer que je n'ai pas lu tous tes poèmes, mais je suis sûr qu'il sont très bien.

Je trouve par contre le dernier formaidable. En me^me temps, c'est peut être parce que la nouvelle pour Lliane et Hony m'a un peu surprise, mais m'a rendu de joie!

Je suis heureuse, pour eux, et pour toi(puique apparement, c'est un peu toi qui l'ai a aidé à se dévoiler, ou alors je n'ai rien compris au poème... -_-'').

Oui c'est ça. Disons que je leur ai donné un petit coup de pouce
je suis contente que tu aime ce poème car j'y ai mis tout mon coeur et toute mon ame.